Une indécente précarité
Roland Moreau
Notre activité est soumise à des moyens de financements faibles et aléatoires, le salaire annuel d’un PDG d’un grand groupe permettrait de produire quatre-vingt-dix documentaires par an. Plus de la moitié de notre temps de travail est consacré à chercher de l’argent, et à l’attendre…
Paru dans La Revue Documentaires n°20 – Sans exception… culturelle
