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Babette Mangolte
J’hésite à m’appeler une « professionnelle du cinéma » parce que, bien que j’ai une formation d’école, j’ai surtout appris mon métier en tournant des films comme opérateur et assez vite, en 1973, j’ai commencé à faire mes propres films parallèlement avec mon travail de chef opérateur. Dans mes films, j’ai une pratique que l’on peut appeler « amateur », car je produis mes films sans la préoccupation de faire un profit avec l’argent investi et je travaille seule avec ma caméra et fais mon montage.
Paru dans La Revue Documentaires n°26-27 – Filmer seul-e