Michel Fano

Le son, de l’écart à la trace

Michel Fano

Il faudrait d’abord rappeler qu’une quelconque volonté de travailler le son dans les films documentaires n’a été possible qu’à l’apparition du support magnétique et surtout des enregistreurs autonomes tels que Nagra et Perfectone. La légèreté de ces matériels autorisait des prises de son très variées, synchrones par surcroît, et le montage du son magnétique s’est trouvé très facilité par rapport au son optique.

Paru dans La Revue Documentaires n°21 – Le son documenté