Captive de la chambre obscure

Du trompe-l’œil dans Le Secret magnifique (Douglas Sirk, 1954)

Gaspard Labastie

Une « certaine qualité du visible, quand celui-ci brille, chatoie, flamboie, éclate jusqu’à devenir suspect, menaçant ». C’est ainsi qu’Olivier Cheval définit la splendeur, cette matière dans laquelle sont cousus les grands mélodrames de Douglas Sirk. Cette poétique de l’excès à laquelle obéissent ses films semble porter la représentation à son point de rupture, la lézarder jusqu’à suggérer le vide qui la soutient.

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Publiée dans La Revue Documentaire n°35 – Les Yeux clos (page 87, Novembre 2025)