Michael Hoare

Zeaux Productions

Michael Hoare

Zeaux Productions existe depuis longtemps : Léon Desclozeaux a une longue expérience du long-métrage et du cinéma. C’est une société ancienne qui dispose de toute la solidité du savoir-faire en matière d’organisation et de production d’un homme qui a vingt ans de cinéma derrière lui. Ma venue il y a deux ans a infléchi et créé le secteur documentaire.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Vidéo 13

Michael Hoare

Cette discussion s’est déroulée pour sa première partie en compagnie de Jean Louis Comolli, donc plutôt sur le mode d’un échange à trois sur le thème des rapports entre producteur et réalisateur, documentaire et fiction.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Trous de mémoire

Michael Hoare

Imaginons un pays idéal, qui aurait le profil de la France, mais dont classe politique et peuple auraient peut-être plus de courage et un peu de suite dans les idées. Ce pays a perdu une guerre. Soit, ça arrive à d’autres. Sauf qu’au lieu de se déclarer vaincue, une fraction importante de la classe politique se proclame trahie par « l’ennemi intérieur », et saisit l’occasion présentée pour installer un ordre corporatiste, totalitaire et raciste.

Paru dans La Revue Documentaires n°6 – Histoire et mémoire


Société française : mises en scène

Michael Hoare

C’était rafraîchissant de voir le nombre de documentaires présentés cette année pour la sélection à Lussas qui donne une image d’individus, de groupes, de problèmes de la société française. Déjà les années précédentes, ce n’était pas si évident. Et ensuite, il s’agit souvent de films qui ne troquent pas la totalité d’un regard contre une fausse efficacité informationnelle, qui ne trichent pas avec leurs procédés de montage, leurs stratégies de réalisation. Leurs partis pris assumés, affichés, s’exposent à la discussion, au risque et, donc, au vrai enseignement.

Paru dans Documentaires n°4


Réponse au Docteur Muybridge

Michael Hoare

D’abord un remerciement profond à ceux et à celles responsables de la sortie en format revue des « Carnets du Docteur Muybridge », compte rendu des deuxièmes États Généraux du Documentaire à Lussas. Il était nécessaire que la rencontre de Lussas trouve sa forme écrite pour que le contenu des échanges puisse être reversé dans le temps comme faisant partie de notre contribution à l’histoire du cinéma.

Paru dans Documentaires n°2


Reformer le rêve

Michael Hoare

Si nous avons choisi de publier une mise en forme du débat animé par Yann Lardeau sur le documentaire américain au « Cinéma du Réel » en mars 1993, c’est parce que les questions fondamentales de ce numéro s’y retrouvent, mais déclinées « autrement », comme de l’autre côté d’un miroir. La « culture démocratique » à laquelle Sylvia Harvey fait référence est ici remplacée par le « rêve américain », plus complexe parce que, d’une part, utopique par essence, et d’autre part, parce que déjà le sujet d’une grande tradition du cinéma mondial, celle représentée par Hollywood.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Question de responsabilité

Michael Hoare

Synthèse du séminaire qui s’est déroulé aux États-Généraux du Documentaire à Lussas (Ardèche) en août 1992 avec la participation de Noël Burch, Gérard Leblanc, Robert Kramer, Jean-Louis Comolli, Sylvia Harvey, Edna Politi, Richard Copans.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


On n’y voit rien ou À Archimède on ne fait que raconter des histoires…

Pierre Baudry, Michael Hoare

« Le mois dernier un astéroïde aussi grand qu’une planète a été trouvé. J’aime bien l’histoire qui s’y rattache. L’astéroïde se trouvait déjà sur des clichés, il y a vingt ou trente ans, mais on ne l’avait pas détecté parce qu’on ne le cherchait pas. J’aime cette observation : pour détecter quelque chose qui soit visible, pour en faire une image scientifique, il faut d’abord l’avoir pensé théoriquement. C’est devant les yeux, mais il faut une longue recherche et réflexion avant de le voir. »

Paru dans La Revue Documentaires n°17 – Images des sciences


Octobre 61, massacre à Paris (ou Les morts de la Seine bis…)

Emma Baus, Michael Hoare

Si l’émeute policière meurtrière du 17 octobre 1961 a, depuis dix ans et les manifestations marquant son trentième et surtout son quarantième anniversaires, émergé dans la conscience historique française comme un moment important de la fin de la guerre d’Algérie, les raisons de son long oubli méritent toujours réflexion. Et le travail filmique qu’elle a suscité ne semble pas être complètement à la mesure du traumatisme provoqué dans les consciences de ceux ou de celles qui l’ont vécue.

Paru dans La Revue Documentaires n°17 – Images des sciences


Méli-Mélo

Michael Hoare

« Pourquoi j’ai créé Méli-Mélo ? Parce que j’aime le documentaire ! Le documentaire c’est regarder les gens tels qu’ils sont et pas comme ils devraient être. Je disais à des étudiants l’autre fois que j’ai vu Les Affranchis de Scorsese et le lendemain, Roger and me de Michael Moore. Et j’ai vraiment compris ce que j’aime. »

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


L’intégrité et l’enthousiasme

Michael Hoare

Claude Weisz a projeté La dernière année de ma vie, et La Hongrie, vers quel socialisme ? lors d’un jeudi de la Bande à Lumière à la FEMIS. Dans cette première partie de notre entretien nous abordons avec lui quelques aspects de son périple de cinéaste, à travers une vingtaine d’années et de nombreux pays.

Paru dans Documentaires n°3


L’État et la Production

Michael Hoare

Nous publions dans ce numéro le résultat d’une enquête : enquête partiale, sélective, subjective, elle provient d’une série de questions que nous nous posons sur l’état de la production documentaire en France aujourd’hui et que nous avons voulu poser à certains des gens qui nous intéressent à cause soit de leur position dans la profession, soit la particularité de leur trajet.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Local Angel

Michael Hoare

« Je suis artiste. J’ai fait un grand projet interactif qui a commencé au Metropolitan Museum et qui est allé au Musée d’Israël. La liberté du style vient de mon art. De la publicité, j’ai pris l’exigence de la qualité technique. La stylisation, la technique d’association vient de mon grand projet qui s’appelait Ré-Humain et qui traitait des idées et des visuels à travers des concepts interactifs, d’une manière presque talmudique ou cabalistique. »

Paru dans La Revue Documentaires n°19 – Palestine/Israël. Territoires cinématographiques


Les Films d’Ici

Michael Hoare

« Ce n’est pas très différent. En fait, mon investissement dans le documentaire vient de trois causes : un, ma passion cinéphilique, j’ai toujours été particulièrement intéressé et attiré par les grands films documentaires, que ce soient les films d’Ivens, de Flaherty, le film d’Otzenberger sur la Chine. Je fréquentais à la fois la cinémathèque et les ciné-clubs, et donc très jeune, j’ai été amené à rencontrer ces cinéastes-là. La deuxième détermination est politique. »

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Les Films du Village

Michael Hoare

Très vite il m’est devenu indispensable pour réaliser mes projets de disposer d’un outil de production. À l’époque l’outil de production n’était pas tant un outil pour rechercher de l’argent, c’était plutôt un outil pour fabriquer. Ce dont on avait besoin, c’était d’une caméra pour tourner, un peu d’argent pour acheter de la pellicule et la développer, et puis d’une table de montage pour monter soi-même.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Le sens de chaque rite

Dana Farzanehpour, Michael Hoare

Safran est un film sur la paysannerie, la culture et la préparation du safran dans l’Iran. C’est un film commandité par une coopérative de distribution, donc quelque chose qu’on connaît bien en France, un film « d’entreprise » en quelque sorte qui traite en plus d’un aspect de la production paysanne. Si ce film nous a frappé c’est bien sûr parce que dès la première séquence nous entrons de plain-pied dans le cinéma, le grand.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Le cinéma, l’histoire, et la politique

Michael Hoare

Pour parler de tes premiers films, tu semblais dans La Cecilia et L’Ombre Rouge, d’une part régler tes comptes avec la question de l’engagement militant, et d’autre part chercher un style de réalisation qu’à l’époque on trouvait un peu maniéré, précieux… J’aimerais que tu parles des enseignements que tu as tirés de ces expériences. Ensuite, tu pars quasi exclusivement vers le documentaire avec On ne va pas se quitter comme ça, réalisé en 1981. Depuis tu n’as pratiquement plus fait de fiction sauf un téléfilm en 1987. Quelles étaient les raisons pour lesquelles, après ces expériences de fiction, tu as voulu travailler surtout le réel ?

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


La Surimpression

Michael Hoare

Les films sur l’histoire nous ont habitué à trois modes narratifs, trois manières d’utiliser les images pour raconter une suite d’événements passés.

Paru dans La Revue Documentaires n°16 – Mémoire interdite


La Société Civile des Auteurs Multimédia

Michael Hoare

S’il n’y a pas de production de documentaires, il n’y a pas d’auteurs de documentaire. On a été amené ici, et bien avant que je sois Président déjà, à mener une politique qui soutenait les textes destinés à favoriser ou à aider la production documentaire.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


La politique (et son absence) dans le film social

Michael Hoare

Récemment ARTE a diffusé deux films ayant trait aux SDF, à la misère des sans-abris. L’un, Un ticket de bains douches par Didier Cros s’est taillé un beau succès dans les festivals de l’année 2000, entre autres au Cinéma du Réel. L’autre, Fragments sur la misère de Christophe Otzenberger (1998, The Factory Productions, Vidéothèque de Paris, La Sept-ARTE) a été rediffusé dans la case Grand Format.

Paru dans La Revue Documentaires n°17 – Images des sciences


La guerre symptôme

Michael Hoare

Quelle notion de responsabilité peut poser le documentariste dans son rapport au monde et au cinéma ? Ce numéro est organisé dans une volonté de discuter largement avec des cinéastes, avec des critiques ou des théoriciens autour des deux volets — inséparables — de cette question.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Kennewick Man 1, 2, 3…

Michael Hoare

Trois films récents puisent leur source dans la découverte accidentelle d’un squelette vieux de neuf mille ans dans la boue du fleuve Columbia dans l’état de Washington au nord-ouest des États-Unis. La datation exceptionnellement ancienne de ce squelette a provoqué tout de suite une controverse (actuellement devant les tribunaux) entre les tribus amérindiennes et les scientifiques.

Paru dans La Revue Documentaires n°17 – Images des sciences


Kaddish

Michael Hoare

Dans le tissu complexe de relations et citations qui constitue la trame de Local Angel, probablement le plus frappant est la figure de l’ange. Venant d’une observation de Benjamin, cet ange vient pour sauver l’humanité mais constate son impuissance, ne peut que lever les yeux sur une montagne de destruction qui grandit devant lui au fur et mesure que passe l’histoire de l’humanité, notre histoire. L’ange est bien l’émissaire d’un Dieu faible, d’un Dieu malade qui a besoin de notre compassion et de notre commisération.

Paru dans La Revue Documentaires n°19 – Palestine/Israël. Territoires cinématographiques


Jean Rouch est mort

Michael Hoare

Si j’ai envie de dire deux mots sur la disparition de Jean Rouch, mort dans la poussière des pistes au Niger, c’est parce que, comme beaucoup d’autres, ma propre destinée a été touchée, et ma trajectoire réorientée par l’attraction gravitationnelle qu’a exercée la sienne.

Paru dans La Revue Documentaires n°19 – Palestine/Israël. Territoires cinématographiques


J.B.A.

Michael Hoare

Pour rester indépendant il faut résister à la tentation de la croissance. La situation aujourd’hui ne permet pas, en tout cas dans le domaine du documentaire, de s’engager dans une logique de développement. Dès que la structure devient trop lourde, elle induit les choix, impose sa logique économique et éloigne le producteur des films.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


IMA Productions

Michael Hoare

Pourquoi fait-on du documentaire ? par choix personnel et non par choix d’entreprise. Faire du documentaire ne peut pas relever d’une stratégie de marché, d’une stratégie d’entreprise. En produire suppose d’être animé par autre chose que par des problèmes mercantiles.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Hôtel du parc

Michael Hoare

« Pour qui est le film ? Je ne me suis pas posé plus de questions pour ce film-là que pour les autres films que je fais. Je ne sais pas très bien ce que veut dire un public. Je n’ai jamais su définir, et je ne sais pas si quelqu’un est capable de définir, ce qu’est un public. Le premier destinataire, mais je ne vais pas être le seul à le dire, c’est moi. »

Paru dans La Revue Documentaires n°6 – Histoire et mémoire


Frères des frères

Michelle Gales, Michael Hoare

« Évidemment j’ai été sensible aux grands silences français sur la Guerre d’Algérie. Il y a eu quelques films de fiction, quelques films militants qui en ont un peu parlé après la guerre. Il y a eu un film de Vautier, un film de Boisset, J’ai eu huit ans de Yann Le Masson, Octobre à Paris. Mais le documentaire ne s’en était jamais approché. La seule série passée à la télé il y a trois ou quatre ans était anglaise et jusqu’en automne dernier, la télévision française n’avait pratiquement pas produit de documentaire sur la Guerre d’Algérie. Donc, il restait un certain nombre de films mais après il y a eu ce grand silence. »

Paru dans La Revue Documentaires n°6 – Histoire et mémoire


Feux et foyers

Michael Hoare

Pour moi, la projection de That Fire Within était un des beaux moments du Festival. En partie parce que je reconnaissais la terre d’Afrique, presque identique à elle-même à travers les quatre mille kilomètres qui séparent les lieux du film des pays que je connais. En partie, parce que je trouvais dans la sensibilité et la tendresse du regard une sorte de compassion humaine qui ne niait pas une part importante de solidarité politique…

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Esthétique en mosaïque

Michael Hoare, Cesar Paes

« Ce film fait suite à un autre film, O País de São Saruê fait en 1970 et censuré au Brésil pendant dix ans. Dans ce film, je parlais des paysans exploités, victimes des latifundia, des gros propriétaires. Ce film-ci parle non pas exactement des mêmes personnes, mais du même type de gens, du monde paysan, ailleurs. Il s’agit de ceux qui sont partis au sud, attirés par l’illusion de développement qu’était la ville de Brasilia. »

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Entretien avec Patrice Chagnard

Michael Hoare

On va aborder différentes étapes de ta carrière, mais j’aimerais qu’on cadre cette discussion par une réflexion sur l’auteur, et notamment sur le rapport entre la liberté de création propre à l’individu et les contraintes posées par les conditions de commande, de diffusion, etc.

Paru dans La Revue Documentaires n°14 – L’auteur en questions


Édito

Michael Hoare

Au centre de ce numéro 2 de Documentaires est le débat sur le rapport des documentaristes à leur temps. Deux faits, certes d’ordre historique différent, imposent cette réflexion. D’une part, la Guerre du Golfe a définitivement prouvé, avec le déferlant d’images creuses dont elle nous assomme, que le contrôle de l’image constitue désormais une pièce maîtresse dans la stratégie de la « guerre totale. » D’autre part, la publication des actes des États Généraux du Documentaire de Lussas est un révélateur de la teneur des débats sur le documentaire en France aujourd’hui.

Paru dans Documentaires n°2


Écrivains des frontières

Michael Hoare

Pendant cette période, mon frère et moi, avec quelques copains, avions monte l’agence Im’Média. Et à la fin des années 8o on s’est trouvés pendant une année chargés de co-produire avec Les films du Sabre l’émission de France 3 sur l’immigration financée par le FAS et qui s’appelait à l’époque Rencontres, la suite de Mozaïque. C’est à ce moment-là que l’agence est devenue un carrefour de nombreuses autres expériences…

Paru dans La Revue Documentaires n°19 – Palestine/Israël. Territoires cinématographiques


Écriture et histoire

Michael Hoare

En tant qu’historien d’abord, en tant que spécialiste de l’usage du cinéma dans l’histoire ensuite, comment avez-vous réagi à Hôtel du Parc ? Ma première réaction a été de constater qu’il s’agissait d’une forme nouvelle d’écriture de l’histoire dans le cinéma. Au cours des rapports entre le documentaire et l’histoire, il y a eu beaucoup de formules d’écriture. Pendant la guerre, il y avait le film d’archives avec voix-off du genre fait par Rossif. Ensuite il y a eu la rupture du Chagrin et la Pitié, c’est-à-dire du film sans commentaire mais où les questions servent de fil.

Paru dans La Revue Documentaires n°6 – Histoire et mémoire


Documentaire et service public

Michael Hoare

Le remue-ménage de ces dernières semaines autour du « service public » de la télévision française nous importe pour au moins deux raisons. D’une part, sur le plan matériel, ceux d’entre nous qui arrivons à travailler dans les conditions correctes du métier le font le plus souvent grâce à des coproductions télévisuelles qui sont largement le fait du secteur public, en général la SEPT et FR3.

Paru dans Documentaires n°1


Dans la tourmente de l’ex-Yougoslavie

Michael Hoare

Nous étions de jeunes Yougoslaves est une étude sur des camarades et amis de la réalisatrice, serbes et croates, avec qui elle a participé à un chantier international sous le régime communiste de sa jeunesse. Tissant un fil assez complexe d’interviews, d’archives et de tournages actuels, elle brosse le portrait d’une génération, et d’une couche sociale perdue, désorientée, impuissante et triste devant la catastrophe dans laquelle elle se trouve emportée.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


CRRAV

Michael Hoare

Le Centre Régional de Ressources Audiovisuelles (CRRAV) a été créé en 1985-86 pour développer la production de programmes pour la télévision, de productions cinématographiques et plus largement la production d’images et de sons dans la région. La volonté est née du tiers secteur, du secteur associatif, de constituer un organisme qui aurait une mission d’incitation, d’encouragement, d’aide, de formation, d’information pour le secteur indépendant. En effet, le secteur privé était en 1985, inexistant en région. Il n’y avait de producteurs qu’à Paris.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Contrôle de la pensée

Michael Hoare

Comment dénoncer les médias avec les médias, comment tenir une parole publique en refusant d’être transformé en icône, existe-t-il un documentaire indépendant ? Francis Miquet, l’un des producteurs de Manufacturing Consent, réalisé par Marc Achbar et Peter Wintonick explique ces multiples contradictions.

Paru dans La Revue Documentaires n°8 – Engagement et écriture


Cité de la Muette

Michael Hoare

Peux-tu nous parler de la diffusion et de la production de Cité de la Muette ? « Il a été diffusé sur la 25e Heure au mois d’octobre 1991 sur Antenne 2. C’était une des premières émissions de la série, diffusée vers minuit. Le film a une histoire, une production à étapes. Dans un premier temps, j’avais trouvé de l’argent quand j’étais encore dans l’unité audiovisuelle de la Maison de la Culture pour une opération appelée mémoire et les images en Seine Saint-Denis »

Paru dans La Revue Documentaires n°6 – Histoire et mémoire


Centre National de la Cinématographie

Michelle Gales, Michael Hoare

D’une façon schématique, on peut dire qu’on est passé, dans le secteur de l’audiovisuel, d’un système d’aide assez modeste en volume, prenant en compte des critères de qualité des programmes, indépendamment de l’apport financier des chaînes de télévision, à des aides beaucoup plus importantes en volume pour les émissions qui sont achetées par les télévisions – ce qu’on appelle le Compte de soutien.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Ardèche Images

Michael Hoare

Ardèche Images Production est une SARL créée en juin 1983 par deux personnes, Maria Odile Méjean et Jean-Marie Barbe qui vivaient en concubinage et qui ont décidé de façon très rapide, en mettant leur argent en commun, d’aller faire un film sur l’ETA au Pays Basque espagnol et français.

Paru dans La Revue Documentaires n°7 – La production


Addoc & le documentaire français contemporain

Michael Hoare

ADDOC est une association fondée à la fin de 1992 à partir d’un regroupement de cinéastes documentaristes qui voulaient partager et parler de leurs expériences de réalisateurs. Le présent article vise à réfléchir sur certaines caractéristiques des films produits par des cinéastes qui sont porteurs d’un esprit que je trouve caractéristique de l’association.

Paru dans La Revue Documentaires n°14 – L’auteur en questions